Cash Express, au cœur de l’économie circulaire
L’économie circulaire et le rôle de consommateur-vendeur se popularisent depuis plusieurs mois et Cash Express en est un des acteurs majeurs ! Le réseau offre la possibilité de faire attention à son porte-monnaie, tout en prenant soin de l’environnement. L’étude « Conso 2022 » de l’Observatoire Cetelem, réalisée dans 17 pays européens, vous en dit plus…
Avec l’augmentation des prix au lendemain de la crise sanitaire, l’économie circulaire reste plus que jamais un moyen concret de réduire ses frais. En effet, selon l’étude « Conso 2022 » de l’Observatoire Cetelem, trois quarts des européens considèrent en effet que c’est un moyen efficace de dépenser moins ! Cash Express s’inscrit particulièrement dans cette dynamique en proposant des objets reconditionnés à petits prix et en rachetant des objets aux vendeurs particuliers. Arnaud Guérin, directeur du réseau, précise que « l’enseigne participe naturellement à l’économie circulaire en donnant une seconde vie aux produits [...] en y apportant expertise, garantie et traçabilité ». Mais Cash Express va encore plus loin en « ajoutant des services augmentant la durabilité des produits : protection des téléphones, surfaçage des supports enregistrés (CD, DVD, Jeux vidéo), extensions de garantie ».
L’étude a également révélé que les personnes les plus adeptes de l’économie circulaire sont les plus jeunes : sur l’ensemble des sondés, 77% des 18-34 ans ont déjà mis en vente un bien ; contre 49% pour les plus de 50 ans. En effet, c’est un bon procédé pour acquérir des objets haut de gamme et modernes à moindre prix ! Il n’est donc pas étonnant de constater que les produits d’occasion les plus populaires sont les téléphones, les jeux vidéo et le multimédia. Le public jeune est aussi plus sensible aux questions environnementales et se tourne donc plus facilement vers des alternatives pour remplacer les produits neufs.
Et le mot de la fin revient naturellement à Arnaud Guérin : « Notre secteur permet au public d’acheter mieux, moins cher et local mais également de s’enrichir en redonnant une seconde vie à leurs affaires ».
